N’Zérékoré: 4 195 naissances dont 1 944 filles, 141 décès dont 36 femmes, enregistrés et 281 mariages célébrés par commune urbaine !

Au cours de l’année 2021, la Commune Urbaine de N’Zérékoré, a enregistrée,  4 195 naissances dont 1 944 filles, 141 décès dont 36 femmes, 281 mariages et 3 030 jugements supplétifs dont 942 femmes  de la période allant du 1 er janvier au 31 décembre 2021. Selon l’officier chargé de l’état civil à la retraite, Alsény Toye, la seule difficulté rencontré c’est au niveau de la justice où les dossiers qui devaient être paraphé, ont accusé un retard et aussi  au niveau des naissances et des cas des décès. C’est pourquoi, il invite donc  les parents à faire la déclaration de leurs  enfants avant 6 mois.

La statistique des naissances et décès enregistrés, mariages célébrés et jugements supplétifs transcrits établit par le chef de l’état civil de la  Commune Urbaine de N’Zérékoré, Alsény Toye,  indique que « cette année, nous avons enregistré 4 195 naissances dont 1 944 filles, on a célébré 281 mariages, pour cas de décès, vous savez les gens viennent quand ils ont des problèmes de papiers à la banque ou de services… là, on a enregistré 141 décès dont 36 femmes et 3 030 jugements supplétifs dont 942  femmes», a dit le chef de l’état civil de la commune urbaine de N’Zérékoré.

Pour le cas des  difficultés rencontrées au courant de l’année 2021, Alsény Toye souligne que « la seule difficulté c’était quand nous envoyons les dossiers à la justice, ça retardait, ça pouvait prendre une semaine voire un mois. Donc par rapport à ça, il y avait un besoin énorme. »

Pour remédier ça, le patron de l’état civil de la commune urbaine de N’Zérékoré, invite « c’est de les demander de redorer confiance et de savoir surtout que l’acte de naissance est très important pour les enfants. D’abord, ça les confère la nationalité, ils appartiennent à une famille, en cas de recherche d’emploi, ça on  pourra lui discerner  plu tard. Problème de scolarisation, problème d’emploi,  Donc les parents doivent savoir tout ça.  

Bruno LAMAH