A 24h de l’élection présidentielle prévue le 18 octobre 2020 en Guinée, déjà les annomalies sont signalés dans la circonscruption de Pela préfecture de Yomou.
Tout est parti pendant la formation des présidents des bureaux de vote dont un membre de l’opposition à été suspendu par la présidente de la CESPI. Selon la configuration du bureau de vote aucun membre de l’opposition ne serait pas présents dans les bureaux de vote.
Chose qui a irrité la colère des opposants(UFDG-UDRP, PADES) de cette localité qui s’emprenent à la
présidente de la CESPI et au sous-préfet de Pela d’être à la base de leur exclusion et aussi de préparer une fraude électorale le 18 octobre 2020. Pour les opposants c’est une complicité entre la présidente, le sous-préfet,la mouvance présidentielle et quelques membres de la CESPI de Pela d’écarter les représentants des partis politiques de l’opposition qui sont représentés à Pela pour cette élection, et pour pouvoir transférer le bureau de la CESPI à la sous-préfecture pour des éventuelles mascarades électorales.
Joindre au téléphone M. Bruno Delamou directeur de campagne de l’UFDG et de l’UDRP de Yomou, condamne cette action de la présidente de la CESPI de Pela et donne un ultimatum pour retransférer ce bureau à sa place sans délai. << Si la présidente ne retransfère ce bureau avant le jour du scrutin peut être il n’aura pas d’élection à Pela parce que nous allons le transférer de force ou de gré, c’est annomal qu’un bureau se retrouve au siège de la sous-préfecture si s’est pas pour voler et tricher les résultats. Nos membres ont été écartés lors de la formation des membres de bureaux de vote, et j’accuse la CESPI,par ce que les membres de l’opposition n’ont pas reçu leurs cartes d’électeurs. Ils ont gardé pour voter à la place de nos militants. Je la met en garde si elle essaie de voler. Ça va mal se passer entre nous ici. Comme l’a dit Alpha Condé nous sommes en guerre et nous sommes prêts à cette guerre qui parle.>> Il faut noter que À Pela l’oppositions se prépare pour securiser les résultats et aussi lutter contre une éventuelle fraude électorale que le pouvoir pourrait organiser a indiqué un opposant.
Bruno LAMAH